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Fiche Night N°1 et 2

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  • Acte 0, Prologue..

    Nom : Coursevent Harald.
    Prénom : W.Endless Night.
    Age : 575 ans.
    Race : Doppelganger, polymorphe, destruktiven hurrikan.
    Orientation : Bisexuelle.
    Métier/Statut : Impératrice, chef de la famille Coursevent, légat.

    Ça y est, elle est morte. Je devrais être soulagée, mais je ne suis pas soulagée.

    " Maman est morte. Pourquoi, alors, a-t-elle encore l'air d'avoir si mal ? Dehors, dans la cour, une femme a hurlé, et j'ai cru que c'était moi. Mais non, je n'ai pas hurlé, je n'ai rien dit, j'ai les mains jointes sur mon ventre, je ne pense à rien, je ne veux pas pleurer, je ne veux pas m'effondrer, j'attends que les gens arrivent, j'attends un moment décent pour sortir de cette chambre, je suis monstrueuse, je ne sais plus où j'en suis, je ne sais plus qui je suis, je suis sonnée, je me hais. "
    " J'aurais aimé pouvoir dire qu'elle avait guéri miraculeusement, mais ça n'a pas été le cas. Elle a juste cessé de respirer. Et j'aurais aimé pouvoir vous dire qu'elle n'était pas morte pour rien, que sa mort avait eu un sens pour la suite de notre vie ou même que sa vie avait eu une signification particulière, qu'on avait donné son nom à un parc, à une rue, ou que la cour suprême avait changé une loi à cause d'elle. Mais rien de tout ça ne s'est produit. Elle est partie c'est tout. Elle est redevenue un morceau de ciel bleu et nous devons tous continuer à vivre. "
    " Ainsi avons nous commencé à découvrir leurs vies. À acquérir des souvenirs communs que nous n'avions pas vécu. Nous avons compris l'emprisonnement que c'est d'être une fille, qui vous oblige sans cesse à réfléchir et à rêver, et fini par vous apprendre à marier les couleurs. Nous avons appris que les filles sont des femmes déguisée. Qu'elles comprennent l'amour et même la mort. Et que notre seule tâche est de produire le bruit de fond qui semble les fasciner. Nous avons appris qu'elles savent tout de nous, et qu'elles nous demeurent insaisissable. "




    Qu'est-ce qui empêcherait vraiment d'aimer la personne de son choix ?

    " Et si, justement, cette personne n'était pas le fruit d'un choix mais la conséquence de quelque chose qui s'impose de lui-même, irrésistible et souverain, sans qu'il y ait de préférence à établir : un déferlement,un assaut, une reddition. Une détonation qui classe le coup de foudre pour un amusement de chef de gare. Aimer sans avoir le choix, sans même se résoudre à un espace pour lui, si infinitésimal qu'il puisse être. Une dictature de cœur. Une force allègre. "
    "Combien de fois avais-je abandonné un homme pour les raisons précises pour lesquelles je l'avais adoré? Un homme meurtri qui ne comprenait pas, qui ne pouvait pas comprendre puisque, moi non plus, je ne comprenais pas. C'est cela que je voulais éclaircir. Cette haine soudaine de l'homme que j'avais séduit et à qui je reprochais justement tout ce qui m'avait séduit en lui. Cette haine viscérale qui me retournait les boyaux et me laissait pantelante, vomissant presque, me haïssant moi avec lui. "
    " On peut tout perdre, les deux bras, les deux jambes, les deux yeux, les deux oreilles, si on garde deux sous d'espoir, on est sauvé. L'espoir est plus fort que tout. Il empêche les gens de se tuer en arrivant sur terre quand ils se voient attribuer un bidonville ou un désert. Il leur donne la force de penser : la pluie va tomber, une banane va pousser, je vais gagner à la loterie, un homme magnifique va me déclarer qu'il m'aime à la folie. C'est un truc qui ne coûte pas cher et qui peut changer la vie. On peut espérer jusqu'à la fin. Il y a des gens qui, à
    deux minutes de mourir, font encore des projets. "
    " Elle était un point de repère fixe dans un monde étourdissant. Jamais j’ai pu l’oublier.. Jamais. J’ai aimé des tas de filles, mais aucune comme ça. C’était vrai. Jamais j’oublierais son premier regard, ça été comme un choc, je ne savais pas ce qui m’arriverais ni ce que je devais faire, ça avait toujours été facile avec les autres filles, mais elle ne me regardait pas.. J’étais amoureuse de cette fille.. "





    Je n'oublierai pas ton visage, je n'oublierai jamais ta voix. Je me morfonds dans ma douleur.

    " Dans mes rêves, tu viens me chercher. Tu me prends par la main et tu m'emportes. Cette vie est trop dure à supporter. Je regarde la clef et je voudrais remonter le temps et que tu sois là. Je voudrais que reviennent ces jours d'innocence et d'insouciance. Je sais que mes blessures ne se refermeront jamais. J'espère que mon fils me pardonnera. Il ne saura jamais. Personne ne saura jamais. "
    " Je ne guérirai pas de cet amour. Tu m'as pris ma lumière, ma sève, ma confiance. Mes jours sont vides, ma vie est morte. Je fais juste semblant. De sourire, d'écouter, de répondre aux questions. Tout les jours, j'attends un signe, un geste. Que tu me délivres de ce trou noir dans lequel tu m'as laissée et que tu me dises pourquoi. Pourquoi m'as tu abandonnée ? "




    Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part..

    " Comprendre.. Vous n'avez que ce mot-là dans la bouche, tous, depuis que je suis toute petite. Il fallait comprendre qu'on ne peut pas toucher à l'eau, à la belle et fuyante eau froide parce que cela mouille les dalles, à la terre parce que cela tache les robes. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on en a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille... Si je deviens vieille. Pas maintenant. "
    " Il a fait si beau aujourd'hui. C'est une journée pour s'échapper des villes, pour se promener dans la campagne et s'allonger sur l'herbe, ne penser à rien, redevenir insouciant. Ce n'est pas une journée pour mourir. C'est idiot de penser ça, bien sur: il n'y a pas de jour pour mourir. Mais je ne sais plus penser ce soir, alors je me donne le droit de rêver, comme le font les enfants, je me donne le droit de rêver qu'on ne peut mourir lorsque la nature est resplendissante. "
    " Nous avons compris l’emprisonnement que c’est d’être une fille, qui vous oblige à rêver et fini par vous apprendre à manier les couleurs. On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait. "




    Là où les pièces manquantes manqueront à jamais.


    Acte I, Lever de Rideau.




    « Tout commença ici même. Vous connaissez tous cette histoire. Vous vous en
    souvenez tous. Mais en parler blesse. Ne faire que la citer est devenu
    comme un crime. Elle blesse. Elle fait honte. Mais pourtant, rien n'a
    changé. Je sais que vous connaissez tous cette histoire. Vous ne voulez
    pas l'avouer, c'est tout.
    »


    « Poussez par l'envie. Cette envie, qui en était presque dérisoire. Que veux-tu ? Tiens, mon cœur, mon souffle, mon âme.. Tiens, prend tout ce que j'ai. Mais de quoi j'ai l'air ?! Du Magicien d'Oz ? Crois-tu, qu'en un coup de baguette, en une parole, je peux t'aimer ? Crois-tu, qu'en un simple baiser dérobé, le désir apparait ? Aide-moi, s'il te plait. Je suis déroutée. Dépassée. Aide-moi. Déteste-moi. Parce que "aimer" est pêché. »

    Je n'ai jamais, vraiment.. souffert au sens figuré. Était-ce, la mort coup sur coup de la vie en elle-même ? Était-ce ce douloureux souvenir, d'un amant au sourire mielleux ? La souffrance est une chose intouchable, que l'on ne peut atteindre. Elle fait rêver, et le désir de la posséder ne s'essouffle jamais. Mais, quand on là, c'est comme essayer d'enlever une catin de son client ; ça s'accroche et ça reste. Que faire ? Attendre, souffrir en serrant les dents. Essayer de partager sa souffrance dans le mauvais sens. C'est horrible.. Et c'est comme ça. C'est salop, c'est mauvais c'est.. Horrible. Mais la souffrance, est plaisante. Sa compagnie berce les mœurs ; pour faire mal autre part. La souffrance, c'est sacré. On est tous masochiste. Certains diront que non ; alors, ce sont des menteurs. Car, je n'ai pas honte d'être masochiste. Non, je le revendique, car j'assume. Cette pensée me fait souvent sourire. Masochiste, vers l'avenir.. Nous aimons nous faire plaindre. Nous aimons être le centre de l'intérêt. Car nous sommes des rats, de la vermine ; on en veut encore et toujours. On aime
    promettre et se dérober en une habile pirouette. On les laisse se détruire petit à petit.. Distrayant. Saloperie de catin, va..
    Le clapotement de mes talons contre les rochers parvint à me faire sortir de mes pensées nébuleuses ; la verdure parcourait le marbre fendu, les pierres écroulées. Dans un spectacle élégant de délabrement. Ce fut, sans l'ombre d'un sourire que j'avançais. Promenant un regard nonchalant, allumé par une étincelle suspicieuse, j'entrepris de visiter ce territoire jusqu'à lors inconnu. Je cédais sous mon propre caprice ;un vice que je ne parvenais pas à m'en détacher. Nous avions - et nous aurons - les doigts entremêlés, marchant vers le destin. Je ne renonce pas à une partie de moi-même comme ça ; je la chéris, je trouve la faille ; et je la rejette. J'essayais constamment de me faire plaisir. C'est tout. Anarchiste ? Certainement pas. Je me qualifierais dans un certain sens de dictateur ; même si, on est libre de penser. Je suis sournoise, pas malade. C'est tout.
    Balayant les alentours d'un autre regard nonchalant, je me campais sur mes jambes, la respiration régulière. Je me sentis raidir, cherchant une trace ; ainsi rassurée, je continuais de marcher, de faire dans un sens ma propre danse. Je vivais.
    Comme pour me le prouver, j'inspirais une grosse bouffée d'air.

    - ..Nous avions - Et nous aurons - toujours les doigts entremêlés marchant vers le destin.. -

    Oh mais que vois-je ? Une âme familière à ma portée, funeste découverte en somme.

    « Le Monde est pathétique.. Mais toi encore plus. Retourne dans le tréfonds de ta médiocrité, et prie pour sa survie ! »

    La médiocrité est un point insensé de la bêtise du vivant ; on plonge, on coule, sans pouvoir sortir la tête hors de l'eau. C'est tellement.. Pitoyable. C'est tellement con. On a envie d'en mourir de honte, cependant, je gardais la tête haute, rétorquant les insultes, enfermée dans mon narcissisme et ma grandeur. Un exercice à la fois qui vous prenait au dépourvu, comme il vous distrayait, voir vous amusait. C'était aussi effrayant de rire de soi-même, de rire des autres, de ceux qui vous ont tendu la main ; vous la refusé, d'un geste sec, moqueur, un brin provoquant. Le regard brillant, celui de Renart ( HS : Renart est le nom d'un personnage, donc l'orthographe est différente, ce n'est pas une erreur de ma part. ) quand il s'apprête à dérober la nourriture au paysan. Renart était certainement mon héros préféré, même si je préférais le pêcher d'Ulysse, celui de goûter la Magicienne en oubliant les nuits passées avec sa femme. Ou le narcissisme d'Achille, porté sur la vague de sa grandeur qui le dépassait et finissait par l’engloutir dans des ténèbres insondables.

    « Tu ne changeras jamais, tu te caches toujours au même endroit, loin de la lumière et de ce monde tordu. Au final tu ressemble à la créature que tu chasses, tu es ce que tu hais. Déteste-toi donc. »

    A quel point la grandeur vous dépassait ? Je l'ignorais. D'un geste nonchalant, je me retournais, fixant la femelle doppelgänger qui me faisait face, d'un regard acéré, parsemé ci et là d'une étincelle mauvaise, quoi que camouflée par la colère et la question.

    « Ma jumelle.. » Dis-je de ma voix feutrée. Rien que de savoir le comment du pourquoi, je sentis tout simplement mes membres se dérober sous moi-même ; la force m'avait quitté. Je me rattrapais avec souplesse, feignant l'agacement. Je me détournais de la femelle, avec une élégance spontanée.

    Caractère.




    A la fois tellement facile en surface, mais dure à deviner. Crois-tu en Dieu ? Moi, je crois en moi. Car je suis mon Dieu. En effet, je n'obéis qu'à moi-même. Les ordres, ne pénètrent même pas mon esprit. Non. Ordonnez moi quelque chose, je vous ignorerais superbement,que cela en sera bientôt déroutant.. Savez vous ce qu'est un iceberg ? Il y a la
    face visible ; celle qui est belle, magnifique, attirante. Et celle que l'on ne voit pas ; dure, blessante et dangereuse. Voyez-vous, sans me vanter, je suis d'un physique plutôt satisfaisant ; ainsi, la plupart ne se.. méfient pas. Grave erreur mes agneaux, grave erreur.. Car sous le regard séducteur, se cache la partie mauvaise ; celle qui frappe. Encore et toujours. Disons, que la cruauté est quelque chose qui me satisfait. C'est, à la fois distrayant et poétique. Profond, dirais-je. Car, le mot cruel - si beau, si intouchable, la perfection en elle-même.. - est un art ; il faut parvenir à le toucher. J'y suis arrivé, avec les années, et me voici maître en lui-même de cette personnalité. Personne n'atteindra mon niveau ; peut être seulement dans vos rêves. Peut être pas ; car j'habite aussi vos rêves. Je suis tout, et vous n'êtes rien. Une poussière que je balaye négligemment. Personne n'est important pour
    moi. Aimer, dites-vous ? On dit que Haïr et Aimer sont les mêmes facettes qu'un même sentiment. Je ne hais pas. Je n'aime pas non plus. C'est un sentiment.. plus profond. Plus mauvais. Un sentiment bien à moins, point. Certains, dis-je que je suis égoïste et orgueilleuse ; pourquoi nier la vérité ? Je me fiche de mes soupirants, de mes soldats dévoués corps et âme. Qu'ils puissent mourir dans les flammes de l'enfer ! Orgueilleuse ? Car, je peux revendiquer quelques choses, moi.. Vous découvrirez, peu à peu, un être lié aux enfers, détrônant Satan lui-même ; un être.. Sanglant, nonchalant. Qui ne vous plaira que très peu.

    Physique.
    * - J'ai de la prestance un beau visage . . Et . . -





    Avant tout, il faut savoir que la croissance de Night à été bloquée à ses quinze ans elle à dont une assez petite taille et une allure d'enfant. Elle est très légère et d'allure fragile. Elle est toujours accompagnée de son air las et mélancolique, comme une poupée sur le point se brisée.De plus elle possède de long cheveux noir quelle garde le plus souvent lisses accompagnés de yeux bruns ou bleus - très expressifs - selon son humeur ou l'élément qu'elle utilise. Night voit très mal, à la limite de la cécité. Pour ce qui est de sa vue elle voit comme s'il faisait nuit, les couleurs qu'elle voit le mieux sont le blanc, le bleu et le rouge. Toutes les autres couleurs elle ne les voit pas ou peu comme par exemple le rose, elle le verra rouge. Le vert est une couleur qu'elle voit très peu. Le brun ou le marron elle les verra gris. Ect.. Sa vue étant médiocre elle se base avant tout sur l’ouïe et le toucher.
    Elle porte le plus souvent une simple robe blanche accompagnée d'une grande cape noire. Night insiste énormément pour ne pas se faire remarquer. Elle marche souvent pieds nus pour se sentir plus proche de la nature.
    Night à aussi quelques petits soucis à cause de son âge - les êtres magiques ne vivant que cent ans -, elle à une mémoire déficiente, elle peut se réveiller un beau matin sans savoir où elle est. De plus elle se sent très souvent mal..
    La première impression que l'on à d'elle c'est un personnage hautain, au port de tête haut.. Elle a la capacité de changer de forme sa première forme est celle d'un loup noir, elle ne s'en sert quasiment jamais. La deuxième celle d'un cheval noir aux allures relever. La quatrième est la plus puissante celle d'un dragon noir aux ailes plumeuses, elle ne craint quasiment rien sous cette forme sauf si elle le désire réellement. Sa dernière forme résulte de son existence en tant que doppelgänger : une licorne blanche.. Sans corne. Du sang coule sans cesse de l'endroit où se trouvait sa corne.


      Capacités



Polymorphie.
« Je suis en train de changer ma vie par mes actions. C'est un choix qui m'appartient.. »

- Loup : Night à eu cette forme à la naissance. Elle est très rapide sous cette forme. Il n'y a rien d'autre à dire là-dessus.
- Cheval : Elle a obtenu cette forme en volant le corps d'un cheval albinos qui avait tuer un enfant. Elle est bien plus rapide et endurante que les chevaux normaux.
- Licorne défunte : Sa forme de base en tant que doppelgänger, elle l'a mémorisée pour ne pas oublier son passé si sombre. Cette licorne sans corne est le plus souvent gravement blesséemais ne semble pas en souffrir.
- Dragon : La dernière forme qu'elle à obtenue, en achevant Ténèbra Aurios une des fondatrices de la famille Coursevent.

Éléments et co.
« La foudre et l'amour laissent les vêtements intacts et le cœur en cendres..
Ansi vient la neige après le feu et même les dragons ont une fin.. »


- La foudre (P) :
Night maitrise une foudre bleue et blanche, cette dernière est un mélange de trois éléments : La foudre, la glace et le vent. Night peut décomposer son élément pour les maitriser chacun séparément cependant elle se révèle être incapable de maitriser la foudre normale. Elle peut aussi choisir ce qui conduit son élément ou non. Il lui arrive quelque fois de perdre le contrôle de son élément on pourrait croire qu'a ce moment un verre, une vitre ou un miroir casse sans raison apparente. Alors quand fait elle modifie juste la pression de l'air et vu que son élément est froid.. Les surface de verre cassent alors facilement. Elle n'a pas besoin de toucher la personne ou la chose pour lui administrer une décharge. Son élément passe par le sang contrairement à l'électricité normale passe par le système nerveux. Elle est la seule de la famille à pouvoir la maitriser après la Fondatrice : Enarel.
- Le zero absolu : Une prouesse que peux de gens sont capable de faire, elle est capable de geler presque tout ce qu'elle désire. Du moment que ce n'est pas trop chaud. Quelque chose qu'elle à geler à cette température peut le rester des années.
- Le Feu : Night maitrise la base du feu. Elle ne peut pas utiliser cet élément trop souvent sinon elle n'arrive plus à régler sa température corporelle. ( Ses deux éléments s'attirent puis se rejettent. )

Autres capacités / Avantages.

- La vitesse : Night est relativement rapide, elle atteint presque la vitesse d'un vampire, mais uniquement sous sa forme de dragon : 120 Km/H en sprint et 360 Km/H en piquer. Tendis que sous sa forme équine elle ne dépasse pas les 80 Km/H. Sous sa forme humaine elle est juste légèrement plus rapide qu'un humain. Elle est aussi très rapide pour changer de forme.
- La douleur : Avec le temps Night est devenu quasiment insensible aux coups. C'est un assez gros avantage. Il n'y a que les blessures de l'âme qui peuvent la faire réellement souffrir.
- L'Imprimerie : C'est le nom chez les Coursevent que l'on donne à leur second sang qui passe par un autre réseaux. L'imprimerie de Night à une couleur bleu céleste et est légèrement pailleté. C'est ce qui lui permet de créer son élément et est très dangereux. Il suffit qu'une personne en est un peu sur elle et il se prendra une grosse décharge. Cependant il est très facile de se débarrasser de ce sang il faut juste de la chaleur. En effet vu que l'élément de Night est composer à 50% de glace, elle ne peut donc pas l'utiliser quand elle fait trop chaud. Quand les températures sont supérieures à trente degré l'Imprimerie redevient du sang normal. Donc Night est incapable de pouvoir utiliser son élément.
- L'eau : Night est un dragon quasiment marin, elle peut passer des heures dans l'eau du moment qu'elle est froide. Et puis n'oubliez pas une chose : L'eau est un élément conducteur.. Ne l'apprenez pas à vos dépends.
- Résistance au froid : Night ne craint pas du tout le froid, elle l'adore même. Car après tout son élément est froid. Ces pouvoirs sont plus puissant en hiver ou lors des orages.

Faiblesses.
« La faiblesse qui conserve vaut mieux que la force qui détruit.. »


- Le feu : Night déteste le feu d'une part car elle en a peur et d'autre part car c'est sa faiblesse élémentaire. Cet élément l'empêche de créer le sien, cependant si le feu est trop faible elle arrivera à le geler.
- La chaleur : Elle craint aussi la chaleur, s'il fait trop chaud elle peut tomber malade très facilement. Elle commence à mal se sentir quand il fait plus de 25°.
- Ses crises : Night à quelques petits soucis psychologiques, comme vous aurez pu le remarquez en lisant mon histoire. C'est un état de faiblesse, elle change de forme et n'utilise pas ses pouvoirs. Il n'y a que deux façon de la calmer : la laisser tuer quelqu'un ou lui mettre un bon coup derrière la tête. ( C'est douloureux mais vous évitera beaucoup de choses. ) Il est très facile de savoir quand elle va avoir une crise : son énervement ou quand elle débranche.. Elle parle sur un ton lent et casser, répond moins vite aux questions et est incapable de faire des choix rapide. Elle à aussi mal à la tête et s'isole le plus souvent avant que la crise n'arrive.
- Ses pertes de mémoires : Night oublie souvent ce qu'elle fait pendant ses crises, dans ce genre de moment il ne faut pas lui rappeler. ça pourrait la détruire. Avec les années elles oublient sans cesse des choses importantes voir même des personnes.
- Le vertige : Night à le vertige.. Sans raison apparente, elle ne vole donc pas.

    0. Introduction de l'écrivain.

Alors tout d'abords
Je me nomme Olivia.
Ça sert à rien que je vous le dise puisque ça changera pas votre destin, ni même votre vie.
Quand vous aurez fini de lire - Enfin.. Si vous êtes en train de lire - et que vous quitterez cette page, vous ne vous souviendrez même plus de mon nom, ni de mon pseudo et vous savez pourquoi ?
Parce que tout le monde s'en fou de cette fille qui écrit pour ne rien dire et qui se nomme Olivia.
Je comprends. Moi aussi je m'en fou, de tout façon qui s’intéresserait à une personne en particulier ?
Personne.

" Qui es-tu pour juger la vie que je vis ?
Je sais que je ne suis pas parfaite et je ne vis pas pour l'être.
Mais, avant de me pointer du doigt assure toi que
tes mains sont propres. "


    Avant toute chose..
    Nom : Coursevent
    Prénom : Endless Night
    Age : 18 ans tout rond.
    Orientation Sexuelle : Bi.
    Métier : Chasseresse.

    AVERTISSEMENT +18 : Cette fiche peut présenter des passages non-adaptés à un jeune public.

    Chaqu'un à son histoire..

    « Passé prélude de l'enfer,
    Destinées croisées.. »

      Lune de miel, le calme avant la tempête.

    Il avait toujours été heureux, avec deux trois amis à la pâture, les humains ne lui cherchaient aucun ennui, il vivait sont existence paisible de poulain, consacrée purement aux jeux et la sieste. Mais tout le monde sait que ça ne dure jamais très longtemps. Les bipèdes le retirèrent bientôt de son havre de paix, et ainsi commença la vie de labeur.

    Pour elle, la vie n'était pas plus facile. L'ennui causé par une leçon de choses sans importances, destiné à faire d'elle, une jeune femme de la haute noblesse. Tout cela ne l'intéressait guère, apprendre à faire une révérence ne l'aiderais jamais dans la vie de tout les jours. Cela ne faisait qu'assoir la place misérable de la femme dans cette société injuste, et parfois bien cruelle. La personne qui lui enseignait, était une femme d'un air jeune, étrange. Dégageant tellement de choses que l'enfant ne savait plus trop quoi en penser.

    Quelques semaines plus tard.
    - Je ne pense pas que rester ici soit bénéfique à votre enfant, cette maison maudite par le drame.. C'est horrible de voir un enfant de cet âge là penser à la mort comme ultime solution à la mort de ses parents.
    - C'est que vous n'avez jamais été une jeune fille de quinze ans, Docteur.. Une phrase laissée en suspend, ne rendant le personnage que d'avantage transparent.
    - Docteur étant le professeur de cette enfant, je peux la prendre à charge chez moi, dans ma maison de campagne. Quand dites-vous ?
    - Je ne vois pas où est le problème. Cependant je vous donnerais un traitement à respecter à la lettre.
    Ces personnes étaient différentes, elles ne reflétaient en rien la chaleur humaine tant regrettée, juste le froid qui l'empêchait d'atteindre son âme. Le voyage fut long, difficile, difficulté à trouver ses marques.

      L'Envol, les faucons qui ne chassent que pour eux.

    Il avait été racheter par une famille de noble, il était bien traité, mais ces derniers étaient trop maniérés. Chaque jour, on resserrait ses sangles, ses rênes.Il ne sentait déjà plus sa bouche à l'âge de 5 ans. Chaque jour la douleur, la tête plus relevée, le ventre moins gonflé, toujours plus vite, toujours plus éperonné. Douleur, douleur, encore.. On lui attachait toujours une écharpe au box pour le faire suer et maigrir son encolure, on lui mettait des poids aux jambes pour le forcer à relever ses allures jugée trop lentes et trop 'classiques' ! Mais il pouvait se vanter aussi d'être mordeur, un comportement d'entier entre autre. Bien que privé du contact des ses congénères.

    Elle se promenait errant dans la sombre maison, un chandelier à la main. Ses yeux bleus, ternis par les larmes et la douleurs, erraient sur les tableaux obscurs d'une autre époque. Victoria était donc une collectionneuse vu l'âge que la demoiselle leur donnait. Elle rentrait, elle avait passer la nuit dans une fête, où elle fit la connaissance d'un jeune homme. Partageant idées et caractère, prévoyait déjà de se retrouver. Le hasard faisant bien mal les choses.
    Mais ce qui la surprenait le plus c'est que la chef de maison, n'était pas là. Et puis Night pouvait bien en rire et s'en moquer ce n'était pas plus mal.

      La colère, dictatrice de la douleur.

    Un beau jour son maitre sortant d'une taverne, ou la fête avait visiblement été trop folle, avant décider de passer par un raccourcis, la forêt de pins la nuit par temps de tempête, le vent hurlait et injuriait le couple. Il éperonnait toujours plus dur, toujours plus fort. Et lui galopait toujours plus, allongeant tout les dix mètres son galop, rapidement couvert d'écume et trempé. Il s'énervait, diminuant l'amplitude de son galop, levant plus les antérieurs, tête haute, oreilles enfouie dans les crins. Il avait froid, il avait mal, il n'en pouvait plus. Être gentil ne te sauvera pas, pensait-il. Alors il lui arracha les rênes des main, baissant la tête et d'un gracieux mouvement - une ruade -, envoyait son cavalier fou voler par dessus sa tête, pour l'emmener se tordre de douleur dans la boue. L'étalon s'approchait, se plaçant largement au dessus du cavalier, leva son antérieur, visait bien. Et posa violemment son sabot. Achevant l'imprudent. Il relevait lentement avec une manière presque humaine, observant la personne s'approchant tendis que la douleur se faisait trop forte.
    Ils 'avançait d'un pas chancelant, sentant ses membres se dérobés sous lui, il s’effondrait, toussant. Il avait froid, soif et faim. Mais il n'avait pas le droit d’espérer de l'homme, si ce n'est qu'un paysan venant pour l'achever. Tout son corps lui paraissait horriblement douloureux. Il remuait ses jambes, une fois, deux fois, peut être trois.. Poussant un hennissement plaintif, douloureux, mais mélodieux. La douce voix des chevaux du sud. Toute son âme criait à la justice qu'il n’obtiendrait pas.

    On l'avait envoyer plusieurs fois dans un centre de redressement, dans une ville salle et grise. Rien ne tempérait ses actes ni même son comportement. Plutôt cet emprisonnement résultait d'un manque de connaissance psychologique, et de l’incompréhension d'une fille qui ne voulait pas, qui disait non. On parlait dans son cas de résignation acquise, tout était noir, rien n'était beau, perte d'intérêt pour les activités qui autrefois lui plaisait. Victoria disait qu'il fallait guérir le mal par le mal : le fouet et les chaines, mais on ne lave pas du sang avec du sang mais avec de l'eau. Le sang s'écoulant sur les dalles grises et mal taillées de cette ancienne prison. De la douleur brulant ses poignets et son dos. Elle s'autorisait à sourire tendis que la servante condamnée sans cesse à rouvrir des blessures qui n'avaient jamais le temps de cicatriser correctement. Du vampire se terrant à l'ombre de la maitresse de maison, jouissant presque de tout cela. Elle donnait son sang avec les manières et la facilité d'une courtisane.
    Et le docteur lui disait que le problème venait de plus profond, de la tête. Et qu'il fallait absolument passer par la pour résoudre le problème. Cette solution ne guérira jamais les plaies du passé, cette folle c'était celle qu'ils avaient voulu. Ce couple maudit jouissait de sa tourmente. Elle n'a même plus la force d’espérer, regardes-là donc. Son regard vide se combinait à ses nuits creuses où grandissait ce sentiment d'immortalité, tel Prométhée donnant le feu pour se réchauffer. Ce Prométhée là, il lui avait pris son âme blessée, pour ne plus jamais souffrir du manque, de l'envie inassouvie, de l'amour. Tout ce qui fessait qu'un humain peut souffrir. Pour en faire une créature semblable à l'homme, parfaite en tout sens.
    « Cette vie t’indiffère,
    Elle ne te ressemble en rien. »
    « C'est dans l'éternité que, dès à présent, il faut vivre. Et c'est dès à présent qu'il faut vivre dans l'éternité. Qu'importe la vie éternelle, sans la conscience à chaque instant de cette durée. »

    Elle s'approchait d'un pas lent de l'homme à terre, lâchant son arc. Une lueur triomphante dans ses yeux bleus. Elle finissait par pencher la tête sur le côté à la manière d'un chien qui ne comprends pas. Tendis que d'un geste sec elle arrachait la flèche qui transperçait l’œil du malheureux. Avec une sorte de gloussement farouche. Puis finalement en douceur elle reprenait son air indifférent et blasé. Avant de lécher d'un air gourmand le globe oculaire garder intact par son attaque. Elle avait un amour profond envers le sang, c'était presque son dessert favoris avec les pommes. Elle continuait son jeu monstrueux tendis que l'homme se roulait au sol de douleur, se morfondant, implorant la pitié qu'il n'obtiendrait pas de la chasseresse. D'un geste lent et calculé elle glissait une de ses mèches lisse et noire derrière son oreille avec l'aide de sa main libre : la droite.
    Au loin on pouvait entendre le bruit de la mer, à cause de la présence à quelques mètres de là d'une magnifique falaise. Qui l'aurait certainement été si elle n'avait pas été couverte du sang de ce pauvre homme. L'imprudent avait oser avouer des sentiments à la dame, qui n'appréciait pas ce genre de plaisanterie douteuse. Alors elle allait le tuer, de sang froid. Avec la dignité des Coursevent. Comme sa mère le faisait avant elle. Elle finissait par rire, un rire mauvais, annonçant le pire. Elle prenait une voix mielleuse et faible : C'est un jour de pluie de larme, pour la famille.
    Elle fermait les yeux un instant, souriant vaguement, tiraillée entre sa folie et son devoir. Elle prenait une flèche dans le carquois situé dans son dos. Bandant son arc le mieux possible et tirant sa flèche dans le corps de cet inconnu. Il n'était rien pour elle, il ne l'avait jamais été après tout. Elle essuyait d'un geste sec le sang qui couvrait son visage, ne faisant que l'étaler d'avantage et s'enfonçait dans la forêt, là où les ombres pourront la camouflées face aux autres chasseurs, les débutante surtout, amis surtout pour éviter les foudres maquillées avec une certaine délicatesse de sa sœur jumelle, Alcatraz. Même si elle sentait cet étroit lien, le fil d'araignée qui les reliait l'une à l'autre par un lien presque démoniaque. C'était cruel mais le lot de tout les vrais jumeaux.
    Soudain, elle sentait sa barrière mentale céder sous une aura froide, trop familière, celle d'une femme qui n'a toujours pas trouver de sens à son existence. Une femme du même âge, comme elle. Cependant elle pliait sans se casser, laissant la présence effleurer ses pensées du moment. Night croisait les bras, parlant dans une langue que peu connaissait, celle de ses monstres à l'apparence pseudo humaine. Son ton devenait presque plaintif tendis qu'elle expliquait les faits. Elle parlait seule à sa solitude.

    Elle avait un besoin fou de se défouler, alors elle courait. Courait, dans l'herbe, jusqu'à ne plus avoir de souffle. Quelle importance puisque elle se sentait, vide.. morte ? Aucune. Elle pouvait sans doute vivre sans respirer mais c'était sa seule façon de se prouver qu'elle était sur cette terre en train de mener une espèce de vie qui n'en était pas une. Elle continuait de courir, jusqu'à qu'il fasse nuit. La pluie commençait à tomber, alors elle s'arrêtait et fermait ses yeux, prise d'un béatitude particulière. La pluie était une des choses qu'elle appréciait le plus dans ce monde. Le reste n'avait aucune importance. Elle retirait sa veste et ses bottes, préférant continuer sa route vêtue le moins possible et puis pieds nus elle se sentait plus proche de la nature.
    Une fois qu'elle eut fini de se dévêtir, elle défaisait d'une main sa natte. Ses cheveux noirs tombaient en cascade sur ses épaules bien qu'ils soient déjà trempés à cause de l'averse. Elle passait sa main gauche dans ses cheveux, grimaçant en sentant des nœuds dans son importante chevelure. C'était un des problèmes de la vie sauvage et puis au fond elle s'en moquait un peu. Elle prendra soin d'elle plus tard. Il était temps d'aller relever les pièges.
    La veille, elle avait installer tout une sorte de piège, collets et pièges à ours. Et ça l'amusait de voir à quel point les humains avait l'habitude de tomber dedans avec autant de facilité qu'un lapin. Vampire qu'il fallait achever d'une flèche entre les deux yeux. Étrangement Night visait principalement la tête, les yeux plus précisément à la manière d'un chat ou d'un serpent, c'était un endroit facile à atteindre et ça faisait pas trop de sang. Et puis ça la passionnait cette partie du corps.. Allez savoir pourquoi.
    Il fallait quelle rentre, personne ne l'y poussait mais elle savait part une étrange façon qu'elle devait le faire.

    « Ces rêves ne sont pas les tiens,
    Si tu reste tu vas manquer d'air. »

    Elle s'approchait d'un pas lent et calculer de sa monture, un entier de robe champagne, vous savez cette couleur or sale propre aux chevaux exotiques du sud assortie de quatre grandes balzanes ainsi qu'une liste parfaitement droite qui ne s'arrêtait qu'à la bases des crins qui curieusement étaient plus clair, gardés soigneusement tressés tendis que la queue elle parfaitement brossée ne s'arrêtait qu'aux paturons. Il est équilibré, souple, rapide, intelligent, un parfait cheval de reining entre autre. Ses yeux sont du même bleu que ceux de sa maîtresse : bleu céleste, ainsi que des bandes de travail aux antérieurs et aux postérieurs et un collier de la même couleur.
    C'est un cheval très proche de l'homme, il faut le vouvoyer et alors il donne tout. Pensait-elle avec le sourire tout en grimpant en selle.
    Il faisait tout, il connaissait le chemin après tout. Il s'arrêtait devant ce qui semblait être l'entrée d'un souterrain, retour à cette vie captive non désirée. Elle avançait donc le long du sombre couloir son cheval à la main, le clac-clap des sabots ferrés sur la pierre grise grossièrement taillée.
    Une ombre signe de mauvais présage attendait la demoiselle. Quelqu'un venait récupérer l'étalon, l'emmenant loin de sa maîtresse.
    - L'as-tu fait, Niight ? ~
    - Oui, parfaitement. J'ai tuer l'homme que j'aimais. Le regard vague et le ton presque rêveur.
    L'ombre s’approchait dévoilant une femme plus âgée, aux traits sombres et aux cheveux couleur vin rouge. Et posait ses deux mains sur le visage de la jeune femme et l'approchait d'elle brutalement. Le ton sec, non révérencieux, cassant et horriblement froid des deux dames qui s'affrontaient du regard, résonnaient avec échos dans le dédale.
    - Je t'interdis d'aimer qui que ce soit, un objet n'a pas besoin de sentiments aussi futile que la compassion ou l'amour !
    Reléguer au rang de simple sac à main, elle s'éloignait. Frissonnant à mis chemin entre les larmes causées par la douleur de son geste, des mots si cruels. Ou bien des pavés froids sur lesquels ses pieds nus traînaient sans cesse pendant des heures et parfois même du crépuscule à l'aurore. Un homme la suivait, elle ne s'en inquiétait pas. Aucune lumière naturelle ici, ça lui mettait le cafard. Elle rentrait dans une petite pièce, sa chambre. Et déjà que la clé tournait et fermait la porte à double ou triple tours. Le frissonnement et l'air inquiet tournés vers la porte, de cette fille qui à peur d'être enfermée. La nuit promettait déjà d'être longue.
    Elle jetait un air dépité à ses poignets noircis et abîmés par le contact des fers, période d'apprentissage avait-elle dit ! Oh, Night tu veux me faire comprendre que ta vie est dure, hein ? Mais où suis-je ?
    Elle s'asseyait dans un coin de la froide et sombre pièce, souillée par les larmes et le sang. Quelques heures de sortie par jour, voilà à ce qu'elle avait droit et si elle avait le malheur de se plaindre.. les chaînes seront sa seule compagnie pour des semaines. Et les coups étaient sa seule façon de savoir quand tout cela se terminera, une fois les cinquante passés et les plaies cicatrisées, elle serait libre.
    Et tout cela durait depuis que l'enfant avait onze ans, et ce n'allait pas se terminer avant bien des jours..
    Ainsi que son petit caractère.

    « Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée. »

    A la fois tellement facile en surface, mais dure à deviner. Crois-tu en Dieu ? Moi, je crois en moi. Car je suis mon Dieu. En effet, je n'obéis qu'à moi-même. Les ordres, ne pénètrent même pas mon esprit. Non. Ordonnez moi quelque chose, je vous ignorerais superbement, que cela en sera bientôt déroutant.. Savez vous ce qu'est un iceberg ? Il y a la face visible ; celle qui est belle, magnifique, attirante. Et celle que l'on ne voit pas ; dure, blessante et dangereuse. Voyez-vous, sans me vanter, je suis d'un physique plutôt satisfaisant ; ainsi, la plupart ne se.. méfient pas. Grave erreur mes agneaux, grave erreur.. Car sous le regard séducteur, se cache la partie mauvaise ; celle qui frappe. Encore et toujours. Disons, que la cruauté est quelque chose qui me satisfait. C'est, à la fois distrayant et poétique. Profond, dirais-je. Car, le mot cruel - si beau, si intouchable, la perfection en elle-même.. - est un art ; il faut parvenir à le toucher. J'y suis arrivé, avec les années, et me voici maître en lui-même de cette personnalité. Personne n'atteindra mon niveau ; peut être seulement dans vos rêves. Peut être pas ; car j'habite aussi vos rêves. Je suis tout, et vous n'êtes rien. Une poussière que je balaye négligemment. Personne n'est important pour moi. Aimer, dites-vous ? On dit que Haïr et Aimer sont les mêmes facettes d'un même sentiment. Je ne hais pas. Je n'aime pas non plus. C'est un sentiment.. plus profond. Plus mauvais. Un sentiment bien à moi, point. Certains, dis-je que je suis égoïste et orgueilleuse ; pourquoi nier la vérité ? Je me fiche de mes soupirants, de mes soldats dévoués corps et âme. Qu'ils puissent mourir dans les flammes de l'enfer ! Orgueilleuse ? Car, je peux revendiquer quelques choses, moi.. Vous découvrirez, peu à peu, un être lié aux enfers, détrônant Satan lui-même ; un être.. Sanglant, nonchalant. Qui ne vous plaira que très peu.
    On m'a aussi qualifiée de résignée acquis qui désigne un comportement proche du désespoir, du renoncement et de la dépression. Mais pour qui se prennent-ils ?! Indignez vous tant que vous le pouvez encore.

    Au final personne ne ressemble à un autre.

    « Cessez de juger sur l'apparence. Jugez avec équité. »

    Avant tout, il faut savoir que la croissance de Night à été bloquée à ses quinze ans elle à dont une assez petite taille et une allure d'enfant. Elle est très légère et d'allure fragile raidie par les douloureuses blessures de son dos et de ses poignets.
    Elle est toujours accompagnée de son air las et mélancolique, comme une poupée sur le point se brisée. Elle ne montre pas facilement son côté suicidaire.
    De plus elle possède de long cheveux noirs qu'elle garde le plus souvent lisses accompagnés de yeux bleus - très expressifs - selon son humeur. Night voit très mal, à la limite de la cécité. Pour ce qui est de sa vue elle voit comme s'il faisait nuit, les couleurs qu'elle voit le mieux sont le blanc, le bleu et le rouge. Toutes les autres couleurs elle ne les voit pas ou peu comme par exemple le rose, elle le verra rouge. Le vert est une couleur qu'elle voit très peu. Le brun ou le marron elle les verra gris. Ect.. Sa vue étant médiocre elle se base avant tout sur l’ouïe et le toucher.
    Elle porte le plus souvent une simple robe blanche accompagnée d'une grande cape noire, ou bien une autre plus riche blanche faite en plumes. Night insiste énormément pour ne pas se faire remarquer. Elle marche souvent pieds nus pour se sentir plus proche de la nature et peu ainsi mieux se diriger dans son environnement.
    Quand elle chasse elle préférera des vêtements noirs, une jupe relativement courte noir, des collants transparent aussi noir et des bottes à talon haut. Sinon pour ce qui est du haut elle porte le plus souvent quelque chose de trop grand pour cacher au maximum ses blessures.

    Pour ses armes elle à tendance à opter pour un arc, ou bien pour simplement trois épées longues.


    Ce qui fait que chacun est unique.
    Pseudo : Nigth, Le Soleil Noir.
    Comment avez-vous connu le forum ? <3
 
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