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Le contexte

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Le contexte Moonli10

RPG : Moonlight Shadow



Statistiques
Informations
Type d'Avatar : [Acteur]
Joueurs : [2 joueur]
Postes vacants créés : [10]
Postes vacants libres : [9/10]
Nombre de Vampires : [0]
Nombre de Chasseurs /Chasseuses : [2]
Nombre d'Humaines / Humains : [0]
Contexte par : [Eris Dioslys et Kasuo Maha]

Genre : Fantastique
Ville : Mortara (Italie)
Nom du pensionnat : Moonlight
Année : 2013
La directrice du pensionnat est Mayra Eras.
La directrice adjointe est Sophia von Rosenwald.

Le chef de la confrérie des chasseurs est Dean Rockwell
Il n'y a aucun sous-chef de désigné.

Découvrez l'histoire du pensionnat grâce au journal de Dean Rockwell, fondateur de la confrérie des chasseurs,

Un fin stratège qui compte prendre sa vengeance sur les vampires dont il a appris l’existence grâce à un mystérieux livre. Malheureusement l’état de ce manuscrit ne permettait pas de le conserver très longtemps donc il créa lui-même un journal. Il passa des années à essayer de déchiffrer les lettres que le temps avait effacées, même aujourd’hui, il continue d’essayer de tout décrypter. C’est notamment grâce à cela qu’il découvrira les faiblesses des dirigeants du pensionnat.


17 septembre 2005

Je détiens enfin le livre des directeurs de cette école. Il se passe tellement de choses étranges, la réponse se trouve nécessairement dans ce livre que l’on croyait perdu jusqu’à ce jour ! Il est dans un piteux état, certaines lettres sont à moitié effacées. A partir d’aujourd’hui, je vais m’efforcer de traduire leur vie même si je dois y passer toute la mienne, le secret de ce pensionnat est forcément dans ce livre !

18 septembre 2005

La fondatrice de ce pensionnat est une Duchesse dont le passé est assez trouble. D’après les archives que j’ai pu trouver, c’était une enfant de paysan qui a été vendue à la noblesse. C’est de cette façon qu’elle devint la duchesse de Montfort mais son mari décéda en la laissant seule face à leurs nombreuses dettes.

5 avril 1779

« Mon cher journal, un nouveau jour se lève, j’ai prié chaque jour le seigneur pour voir mon rêve se réaliser. Aujourd’hui j’ouvre les portes de mon humble bâtisse afin de soutenir toutes ces femmes qui se retrouvent enceinte mais abandonnée par leur époux. Je serais éternellement redevable aux deux familles qui m’ont permis de concrétiser ce rêve tout en remboursant les dettes de mon défunt mari, les familles Eras et von Rosenwald. Leur bonté me fait chaud au cœur, d’autant qu’ils ne font pas cela pour me demander de les rembourser, ils semblent être aussi compatissant que moi envers ces femmes. »

7 avril 1779

« Mes premières occupantes sont arrivées de bon matin. Le désarroi dans leur regard amplifia mon envie de les aider avant, pendant et après leurs accouchements. La plupart de ces femmes étaient des domestiques abusées par leurs maîtres de maison qui, au vu de leurs grossesses, les a jetées dehors afin de cacher leurs infidélités à leurs dames. Hélas, je ne peux rien faire de plus que de leur offrir le gîte et les couverts… »


J’ai l’impression de perdre mon temps, je suis déjà à la trentième page de ce journal mais il n’y a rien d’étrange. Cette femme, Angélique, décrit presque chaque jour de sa vie. Elle priait tous les jours pour les personnes qu’elle hébergeait. Ce qui m’intéresse, ce sont les familles qui l’ont aidé à accomplir son rêve car ils sont, aujourd’hui, les dirigeants de l’école…


Il y a juste une nouvelle pensionnaire qu’elle trouve étrange. Une femme au regard fatigué qui ne parle pas, ne mange pas, ne bouge presque pas. Apparemment, Angélique aurait réussi à converser un peu avec elle. Cette femme souhaiterait que sa fille s’appelle Isabella et qu’elle prenne son nom ; De la Rosa.

4 octobre 2005

Isabella De la Rosa est née d’une mère italienne et fut la seconde directrice du pensionnat. Elle mourut dans des conditions inconnues. C’est ce que j’ai pu trouver dans les archives. Dans le journal des directeurs, Angélique raconte l’accouchement de cette dame, ainsi qu’une nouvelle rencontre ; ceci est bien plus intéressant.

20 septembre 1779

« Mon aide ne suffit pas à sauver ces mères. Je l’ai découvert avec la mort de la Lady De la Rosa. Elle souriait face à la fille qu’elle venait de mettre au monde, puis ses yeux se refermèrent sur l’atrocité du monde à tout jamais. A ce jour encore, j’ignore comment elle pouvait être si sûre qu’elle donnerait naissance à une petite fille. Elle laissait derrière elle, une jeune orpheline que j’allais devoir élever. Hélas, je ne pourrais jamais lui raconter la vie de sa mère avant son arrivée en ces lieux. »

25 septembre 1779

« L’un des membres de la famille von Rosenwald est venu visiter ma demeure afin de vérifier si l’on ne manquait de rien. Son attention m’a particulièrement touché. Il m’a assuré qu’il viendrait régulièrement à partir de maintenant afin de nous soutenir dans cette épreuve. Un cœur si noble est devenu terriblement rare de nos jours. »


10 octobre 2005

Je ne comprends pas, je pensais que l’arrivée d’un de ces membres me révélerait enfin leur secret mais, le récit est à nouveau calme et sans une note de mystère.

De nombreuses pages se tournent sans le moindre indice. Cet homme dont elle me livre enfin le prénom, Lucas von Rosenwald, tient bien sa promesse de venir les voir, mais ce ne sont que de simples visites de courtoisie. Toutefois, on peut sentir dans sa façon d’écrire, un certain attachement à cet homme. Bien qu’il s’agisse d’un journal de l’école, elle y avoue des choses très personnelles.


13 novembre 2005

Le chamboulement que je voulais arrive enfin ! Après d’innombrables pages inutiles sur l'enfance, l’adolescence d'Isabella, ainsi que l'évolution des pensionnaires. Les événements semblent prendre une tournure intéressante.

Angélique a rencontré Lucas von Rosenwald et partagé un tendre moment à ses côtés. A partir de ce moment, son récit change, sa façon d’écrire est hésitante. Cette partie du livre est presque indéchiffrable… J’ai moi-même du mal à comprendre, excepté un mot : « Vampire ». Ce que je soupçonnais est noté noir sur blanc. Il y a malheureusement trop peu d’informations pour tirer des conclusions ; je ne peux lire le nom de la personne dont elle parle, ni savoir s’il s’agit d’une métaphore ou non…

J’ai de plus en plus l’impression de lire un roman à l’eau de rose, les passages importants sont désormais inexistants.

25 novembre 2005

Cette fois-ci, tout est écrit clairement, elle en a même cassé la plume d’après la tâche d’encre que je vois au bas de la page.

18 juin 1801

« Je ne peux pas continuer ainsi. Peu à peu, j’ai oublié mes priorités pour ce pensionnat. J’ai vu certaines de ces femmes disparaître mais je n’ai rien fait, rien dit alors que je connais le responsable. Seigneur, pardonnez la faiblesse de mon cœur pour ce vampire… Ce soir, je mettrai fin à cette histoire. Je briserai la malédiction de ce pensionnat qui n’est plus qu’un garde mangé pour ces familles de vampires. Seigneur, ils m’ont dupé mais j’emporterai l’un de leurs membres dans la tombe pour purifier mon âme… »

19 juin 1801

« Je me nomme Isabella De la Rosa, je prendrai la relève à partir de ce jour. Cette pension sera un refuge pour toutes les personnes désirant la mort des vampires. Ils ont tué la personne la plus chère à mon cœur, je détruirai leurs familles entières. Accordez-moi le pardon pour le sang que je vais verser. Lucas von Rosenwald, tu seras le premier. »


Le récit, auparavant calme, prend une tournure très intéressante avec la relève d’Angélique. Je suis maintenant sûr que les disparitions du pensionnat sont dues à ces vampires ! Le fait qu’Isabella veuille les combattre me donnera peut-être des indications sur la manière d’agir.

L'écriture d'Isabella est beaucoup plus lisible que celle d'Angélique. Isabella, a elle, un langage plus agressif, plus franc, on ressent facilement sa haine contre les vampires. Je reconnais parfaitement comprendre la violence de ses propos.

24 juin 1801

« L'existence des vampires est inconnue pour la plupart des humains alors j'ignore comment je pourrais faire pour créer une communauté de chasseurs. Je suis dans l'obligation de faire preuve de sang-froid face aux membres de ces deux familles. Tous viennent toujours dans la demeure et les disparitions se multiplient. Je crains qu'ils soient les coupables.

Le regard plein de détresse d'Angélique lorsqu'il l'a mordue en lui aspirant tout son sang, me hante encore et toujours. Je me dois de trouver la faiblesse de ces êtres. »

8 juillet 1801

« Ma quête se poursuit mais les membres de cette famille ne viennent plus jusqu'ici. J'en ignore la raison et je redoute le pire. Ces monstres semblent manigancer quelques choses. Malgré tout, j'ai appris que ces infâmes vampires appréciaient guère l'argent. Cela n'est sûrement pas un détail qui pourrait les anéantir mais chaque jour me rapprochera de ma vengeance.»


1er décembre 2005

Il n'y a rien d'intéressant. La quête n'avance plus car les familles de vampires ne viennent plus les voir. Son objectif d'héberger que des personnes qui ont eu des problèmes avec les vampires a également échoué. Elle continue le travail de sa mère adoptive et soutient les femmes enceintes dans cette dure épreuve. Elle les rencontre à nouveau le :

24 décembre 1803

« Ils sont revenus. Leur supériorité me donne la nausée. Par chance, ils ont décidé de dîner avec nous ce soir. Je vais pouvoir mettre mon plan à exécution et tuer Lucas von Rosenwald, malgré la présence de George Eras, je ne peux laisser cette opportunité passer. Hélas, je n'ai aucun indice sur leurs faiblesses, je ne peux qu'essayer de les tuer comme je pourrais tuer un humain. »


2 décembre 2005

Ce fut le dernier message d'Isabella De La Rosa et d'après les archives, ce fut la date de sa mort dans des circonstances inconnues. Je suis presque sûr, au vu de ses dires, qu'elle s'est faite tuer par ces vampires. Le nombre de victimes de ces monstres ne fait qu'augmenter. Ce que je lis n'est qu'une faible partie de ces meurtres... A partir de là, c'est l'une de ces créatures qui prend la relève…

25 décembre 1803

« Je me nomme George Eras l'un des piliers de ce pensionnat. Je salue bien bas le travail de ces humains qui se sont battus pour le bien d'autrui. Je prends la relève pour une union entre l'espèce humaine et les vampires ! Il me semble qu'il serait bon que l'harmonie règne entre ces races. Certains sacrifices seront nécessaires ; les humains pourront nous donner leur sang de leur plein gré, en dehors de ça, nous nous efforcerons de boire du sang animal. C'est ici que s'achève ce journal. La famille Eras prend désormais le contrôle de ce pensionnat. »


15 janvier 2006

Je pensais que c'était terminé mais à la fin du livre se trouve la chronologie des directeurs.

Liste des Dirigeants du Pensionnat:
1779 – 1801 Directrice Fondatrice, la Duchesse Angélique de Montfort
1801 – 1803 Lady Isabella de la Rosa
1803 – 1853 George Eras
1853 – 1953 Lucas von Rosenwald
1953 – 1995 Victoria von Rosenwald
1995 – … Mayra Eras


Puis quelques pages avant la fin, un dernier mot d'Isabella:

« J'implore le ciel qu'il permette à un humain de trouver ce livre afin qu'il poursuive ma quête. Les vampires envahissent notre monde. Afin de lutter contre cette menace, je transmets ci-dessous mes connaissances à leur sujet : l'argent ne les tue pas, mais ils l'évitent d'une manière étrange. Les vampires sont continuellement en conflit entre ceux qui souhaitent la paix avec les humains, ceux qui veulent dominer la race humaine et ceux qui veulent juste vivre sans se soucier des humains.

Ce soir, je vais essayer de tuer l'un d'eux avec un pieu en bois. Si cette ligne est la dernière, c'est que j'aurais échoué. »

Isabella de La Rosa.




15 janvier 2006

Je me suis préparé depuis plusieurs jours. L'histoire d'Isabella m'a profondément touchée. Son agresseur est encore en vie. Cela me répugne. Je vais tout faire pour venger Isabella et sa mère. De nos jours, ces deux familles ont toujours une forte influence mais celles-ci ne se méfient pas assez des humains. Je vais leur prouver que les humains ne sont pas si crédules et si faibles.

16 janvier 2006

Ma main tremble encore, je l'ai fait ! J'ai tué l'un de ces monstres, je n'ai pas pu accomplir ma vengeance à la perfection mais ils se souviendront de cette nuit où ils ont perdu l'un des leurs, Mike von Rosenwald. Ce n'est que le commencement, je les détruirai tous comme ils nous ont détruis depuis des siècles. Leurs points faibles se dévoilent à moi chaque jour. L'argent dans leur cœur les paralyse, le feu les fait redevenir poussière. Pourtant même en sachant ça, ils sont trop nombreux, je ne pourrai jamais y arriver... Les familles Eras et von Rosenwald ne sont pas les seules vampires de cette ville maudite…

25 janvier 2006

J'ouvre la confrérie des chasseurs afin de poursuivre la lutte d'Isabella mais surtout pour éteindre la menace vampirique qui plane sur notre monde. D'autant plus que des événements étranges ne cessent de se passer en ces lieux.

Je serai le Maître de la confrérie des chasseurs jusqu'à ma mort. Nous les vaincront !

19 avril 2008

Cette nuit encore, nous avons patrouillé dans le pensionnat à la recherche d'étudiants ou même de membres du personnel en danger. Nous avons surpris un vampire avec une élève dans le hall d'entrée. De loin, les ignorants auraient imaginé que c'était juste un couple, mais nous, chasseurs, nous savions exactement ce qu’il se passait et nous sommes discrètement intervenues. Nous avons pu essayer une arme que l'un des membres nous a confectionnée, un lanceur de fléchettes en argent. Nous avons pu paralyser ce suceur de sang afin de sauver la jeune femme.

8 juillet 2010

En plein été, les nuits sont courtes et les vampires s'enferment de plus en plus dans leur demeure avec leurs victimes, ce qui nous empêche d'intervenir sans se faire remarquer.

Des bruits courent sur notre confrérie. Des personnes que nous avons sauvées n'ont pas hésité à parler de nos exploits ou plutôt de notre traîtrise envers les dirigeants de ce pensionnat. Jusque-là les vampires pensaient qu'il n'y avait qu'un chasseur dans tout l'établissement. Nous allons devoir être deux fois plus prudents... J’aurais voulu que notre secret reste plus longtemps dans l'ombre. Je me rends compte que si nous ne sommes pas plus prudents, notre lutte se compliquera et il nous serait presque impossible de combattre les vampires à armes égales. Je n'aurais jamais pensé que nous serions trahis par des humains.

9 juin 2012

Nous n'oublierons jamais les personnes qui sont tombées face aux vampires, ils sont notre force. À ce jour, les familles Eras et von Rosenwald dominent le pensionnat créant dans notre dos des clubs fermés qui ont pour objectifs de servir de nourriture aux vampires. La directrice, Mayra Eras, erre de plus en plus dans les couloirs près de notre repère, au sein de la bibliothèque. Elle se questionne sur l’identité des chasseurs. La mort qui plane sur ces suceurs de sang semble soudainement les préoccuper... Nous devons être prudents car la violence des vampires a fortement augmenté. Certains d'eux prennent beaucoup de plaisir à torturer les humains. Nous ne pouvons pas les laisser agir !


La confrérie des chasseurs est menacée. Malgré leur profonde envie de combattre les vampires pour la survie des humains, certaines personnes qu'ils ont été sauvées semblent s'être ralliées à la cause ennemi. Qui gagnera ; les vampires qui ont déjà une grande longueur d'avance ou les chasseurs qui croient encore pouvoir anéantir les vampires ?


D'autant que les choses se corsent, la famille Eras vient de racheter la totalité de la ville! Maintenant ce n'est pas qu'un pensionnat qui est menacé mais une ville entière!


 
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