Le long du pensionnat, on aperçoit le jardin aux merveilles caché par des haies de deux mètres. C’est le lieu de prédilection du jardinier, l’endroit où il peut faire pousser tout ce qu’il veut et, depuis le temps qu’il est ici, il a pu donner vie à des plantes très rares. Au jour d’aujourd’hui, les professeurs de sciences peuvent même vous y emmener pour découvrir certaines plantes.

De l’extérieur, on ne voit que les arbres dont un chêne d’une centaine d’années. Du côté des plantes, on retrouve des violettes de Cry, une espèce disparue depuis 1930 en France. Ce jardin privé du pensionnat se garde bien de dévoiler l’existence de ce genre de plante ici, c’est leur jardin secret. Le jardinier a une passion pour les végétaux qui le poussent à prendre soin de ses petites plantes dont l’existence est éteinte ailleurs ou pas loin de l’être.

On accède au jardin par une porte en bois vert, fermée par trois verrous, qui se trouve à l'intérieur du pensionnat. Dès que l'on franchit le pas de la porte, on remarque des plantes absolument partout. A certains endroits, les arbres plongent la salle dans une semi obscurité. On se croirait dans une petite forêt avec de multiples plantes.